Documentations et publications
Le Bénin enregistre ses premiers bébés-éprouvette
Trois bébés-éprouvette de sexe féminin ont vu le jour jeudi par césarienne dans la polyclinique Saint-Michel de Cotonou du Docteur Athanase Sodjiédo, qui a réussi ainsi ‘’une première’’ au Bénin.
Le Bénin vient de réussir une première expérience dans le domaine de la fécondation in vitro avec la naissance de ces trois bébés éprouvettes dont deux jumelles du nom de Victoria et Vinciane et une fille unique nommée Emma de deux mères différentes, a confié à APA vendredi le Dr Athanase Sodjiédo, gynécologue obstétricien, diplômé de médecine et biologie de la reproduction. Selon ce biologiste, les deux mères ont été soumises à cette opération pour des problèmes de procréation liés à leur passé et à leur âge (35 et 41 ans).
L’une des mamans a eu des antécédents pathologiques. Elle a eu par le passé des maladies au niveau de l’appareil génital qui ne lui ont pas permis de procréer naturellement, a-t-il expliqué, précisant qu’avec ces antécédents pathologiques les deux mamans n’espéraient pas avoir d’enfant.
Ces deux mères n’espéraient par faire un jour d’enfant, mais sont aujourd’hui comblées grâce à l’expertise de la médecine moderne, a indiqué Docteur Athanase Sodjiédo.
Bénin: Naissance des premiers bébés-éprouvette
Trois bébés-éprouvette de sexe féminin ont vu le jour le 15 septembre par césarienne à Cotonou, ‘’une première’’ au Bénin. Les deux mères ont été soumises à cette opération pour des problèmes de procréation liés à leur passé et à leur âge (35 et 41 ans). L’une des mamans a eu des antécédents pathologiques. Elle a eu par le passé des maladies au niveau de l’appareil génital qui ne lui ont pas permis de procréer naturellement. Avec ces antécédents pathologiques les deux mamans n’espéraient pas avoir d’enfant.
Bénin : Trois bébés nés grâce à une fécondation in vitro
C’est désormais possible de concevoir grâce à des fécondations in vitro. La première expérience qui s’est montrée concluante s’est soldée hier jeudi 8 Septembre 2011 par la naissance de trois bébés filles dont deux jumelles. L’accouchement s’est déroulé à la Polyclinique saint Michel de Cotonou dans la matinée. Issues d’une mère âgées de 34 ans, les deux jumelles ont vu le jour respectivement à 9h40 et 9h41.
Elles pèsent la première 2,1 kg pour 41 cm et 2,3 kg pour 40 cm. Quant au troisième bébé qui est aussi de sexe féminin, elle pesait à la naissance 2,6 kg pour 49 cm et vient d’une mère qui a bouclé ses 41ans. Cette nouvelle nourrice semblait bien perdre tout espoir d’être mère car elle dit avoir cherché à concevoir depuis plus d’une quinzaine d’années.
Pour toute première fois dans l’histoire de la procréation au Bénin, trois bébés éprouvettes viennent de naître, jeudi 8 Septembre dernier à Cotonou, suite à une intervention scientifique de haut niveau. Ces trois bébés ont été présentés au cours d’une conférence de presse animée par le gynécologue, obstétricien Athanase Sodjiédo.
Si la procréation fait la joie dans les cœurs des membres d’une famille voire toute la société, le processus pour y arriver est plus qu’un parcours de combattant. Aucune grossesse n’est aisée, mais il se trouve que certaines sont plus compliquées que d’autres. Parmi les grossesses les plus compliquées, on peut noter celles in vitro. Il s’agit des grossesses ont les enfants ne peuvent pas naître par la voie normale. Ces difficultés se trouvent à plusieurs niveaux, de conception jusqu’à l’accouchement.
Le gynécologue, obstétricien, Athanase Sodjiédo a expliqué qu’il s’agit de deux mères. L’une a enfanté des jumelles : Victoria et Vinciane et l’autre qui a porté une fille unique qu’on appelle Emma. Ces deux mamans ont dans le passé des antécédents pathologiques. Elles ont eu des problèmes qui ne leur permettaient pas de procréer naturellement. « Même les gynécologues de la place ont témoigné de l’impossibilité de procréation », a-t-il rappelé. Malgré leurs difficultés et désespoirs, elles ont donné naissance à des bébés jeudi 8 Septembre dernier.
Selon le gynécologue, obstétricien, Athanase Sodjiédo, pour faire l’accouchement in vitro, il suffit dès le début, de faire des consultations et quelques examens à la femme sur autorisation de son mari. Il s’agit notamment d’un bilan hormonal qui permet d’apprécier la fonctionnalité ou non des ovaires. Lorsque ces ovaires fonctionnent, d’autres examens doivent permettre de savoir si la cavité utérine est normale. Comme si cela ne suffit pas, on continue pour savoir s’il n’y a pas de maladie au niveau des ovaires comme d’autres problèmes qu’on peut identifier. Une fois ceci réalisé, on peut passer à la fécondation in vitro. Mais lorsqu’il y a une maladie, comme un fibrome qui se trouve dans la cavité utérine, où un accolement de la paroi, il faut d’abord régler le problème de fibrome qui se trouve à l’intérieur. La Polyclinique Saint Michel (POSAM) a fait tout de son mieux pour passer toutes les étapes. Une intervention sur les myomes à l’intérieur de la cavité utérine et une autre sur les sinusites sans ouvrir le ventre. « Le coût de cette opération avec toutes les techniques qui n’existent pas dans la sous-région peut varier entre 700.000FCFA et 1million 500 FCFA, selon les situations », a-t-il souligné.